Attention aux coeurs sensibles
» Histoire:
Du plus loin que je me souviennes, j'avais toujours été avec ''lui'' , mon grand frère. Il prenait toujours soin de moi, même quand j'étais malade et nous étions toujours enssemble. Ma mère ne travaillais pas et nous aimait comme un folle. Je ne voyais presque jamais mon père car il travaillais toujours et quand il était en congé, il en profitait pour se reposer. Il y a 5 ans, mon frère en avait 16 et moi 11, nous avions décidés d'aller à l'aquarium enssemble. Mais alors que nous nous y rendions, je suis tombé et me suis cogné la tête sur la marche de trotoir. Il s'inquiétait pour moi et a insisté pour m'emmener à l'hopital, il m'a fait grimper sur son dos et à peine avait-il fait quelques pas qu'un autobiliste nous a heurtés. Quand j'ai eu la force d'ouvrir les yeux, j'ai vu mon frère un peu plus loin, j'ai paniqué et je me suis trainé avec mes bras ( car je ne sentais plus mes jambes mais je ne voulait pas regarder ) vers lui. Il était sur le dos et respirait faiblement, il a ouvert les yeux, m'a regardé et a souri en disant pour me rassurer:
~ Ne soit pas triste, souris-moi s'il te plait...
J'ai exécuté ce qu'il m'a demandé et il a fermé les yeux. à cet instant, sa main que j'avais dans la mienne est devenue toute froide, il a arêté de respirer et c'est alors que j'ai remarqué qu'une marre de liquide rouge l'entourait, mon frère n'était plus et son visage était terriblement serein.
J'ai ouvert les yeux, j'étais à l'hopital.
J'était Seul.
Je me souviens d'avoir pleuré toutes les larmes de mon corp , sans arret , pendant des jours. Mes parents n'étaient toujours pas venus me voir, je me sentais terriblement coupable de la mort de mon frère. Le médecin avait parlé l'état de ma jambe gauche, il ne me l'avait pas dit mais j'avais entendu ~Ce n'est pas sans espoir, mais au meilleur, il poura remarcher avec l'aide d'une béquille.~.
Je ne parlais plus, ne souriais plus, ne riais plus.
Le médecin m'a inscrit en réadaptation pour ma jambe et malgrès ce qu'il avait dit, les résultats fûrent audelas de ses attentes et je pus de nouveau remarcher, sauter et courir comme tout les autres garçons de mon âge. Par contre, il m'a fortement conseillé de faire des étirements tout les jours. Avant de sortir de l'hôpital, j'ai appris que la raison pour laquelle mes parents n'étaient pas venus me voir était qu'il tentaient de poursuivre le conducteur de notre accident et que, que le procès était terminé et qu'ils avaient perdus. Quand je suis rentré, mon père n'était pas là, sûrement en train de rattraper ses journées manquées au travail. J'avais quand m^me hâte de revoir ma mère alors j'ai appelé son nom... aucune réponse. J'ai fait le tours de la maison et quand j'ai ouvert la porte de notre chambre.... enfin Maintenant c'était seulement Ma chambre, je vit le cou étranglé de ma chère mère et son corp pendant sans vie du paradis.
Bye bye bye bye ... mother.
Incapable de porter les silencieuses larmes et la douleur profonde, les fleurs meurent, je me suis laissé prendre par le sol.
Un mois plus tard.
Comme à chaque Vendredi, mon père revenait plus tôt.
*Viens, prends-moi jusqu'à temps que tu sois satisfait, je suis à toi papa.
Mais tu sais, maman et grand frère nous regarde de là haut*
un ans plus tard:
toujours aux cotés du papa que je méprise.
Aujourd'hui, comme toujours, il me viole de nouveau, je garde les yeux ouverts pour me rappeler le regard de papa.
J'ai violemment plongé ce que j'avais caché tout droit et profond dans son cou, au revoir père.
Bye bye bye bye... father
~~
À cause de mon jeune âge, J'ai seulement été envoyé dans une famille d'accueil.
Rien de bien interressant à part que mon ''frère d'accueil'' qui était beaucoup plus vieux que moi , commenca à me persécuter, me battre et appeller ses amis pour l'aider à mutiler mon petit corp avec beaucoup de plaisir... et me toucher. Mes ''Parents d'accueil'' fesaient semblant de ne rien voir. Et ça continues encore et encore, c'est moins pire aujourd'hui mais certaines de mes blessures ne disparaiteront jamais comme pour me marquer au fer pour que je n'oublies jamais ce que j'ai enduré.